Vous êtes authentifié. Nous chargeons votre espace membre.
Message d'information
Message d'alerte
Pour des raisons de sécurité et pour continuer à accéder à votre espace membre, nous vous remercions de bien vouloir valider votre compte membre en cliquant sur le lien suivant :
Je valide mon compte membre
Vous allez recevoir un email à l'adresse indiquée lorsque vous aviez créé votre compte.
Cliquez ensuite sur le lien présent dans le mail. Vous pourrez alors de nouveau accéder à votre compte membre.
Si vous n'avez pas reçu cet email,
contactez-nous
Message d'erreur
Message de confirmation
Un email de confirmation vient de vous être adressé.
Dans le cadre du plan de relance, le ministère de la Transformation et de la Fonction publiques disposera d’un budget de 1 milliard d’euros pour numériser l’administration française. La ministre Amélie de Montchalin a présenté en septembre les grands axes de son plan de numérisation, avec un objectif ambitieux : en 2022, les Français pourront réaliser 250 démarches administratives courantes intégralement en ligne.
Les démarches administratives en ligne facilitées - iStock-fizkes
Une administration déphasée
Présenté par Amélie de Montchalin courant septembre, ce projet répond à une problématique bien actuelle. À l’heure de la numérisation, et alors que le télétravail est en passe de s’ancrer dans la réalité des citoyens et des entreprises, l’administration traîne la patte. La ministre déclare à l’envi : « on ne peut pas moderniser le pays et laisser l’État en décalage ». La ministre a annoncé que le ministère avait mis en place un suivi des 250 démarches administratives les plus courantes effectuées par les Français (demande de certificat de naissance, affiliation à la CAF, etc.). Il en ressort que 28 % de ces démarches ne sont pas du tout numérisées. Pour celles qui le sont, le taux de satisfaction n’est pas glorieux, variant entre 25 % et 90 % selon les démarches. Le ministère entend améliorer sensiblement l’accessibilité aux démarches en ligne, en traquant notamment les cas de « fausses numérisations » — la démarche débute effectivement en ligne, mais s’achève par l’envoi d’un courrier postal — et atteindre un taux d’au moins 70 %. Tout cela, assure la ministre, se fera dans le respect du RGPD, la réglementation européenne de protection des données.
La répartition du budget
La moitié du budget alloué sera utilisé pour des projets internes aux différents ministères, en lien avec la modernisation des infrastructures numériques et la cyber sécurité. L’autre moitié sera octroyée aux outils interministériels et dédiée à la transformation numérique et à la mise en place de plateformes et formulaires sécurisés pour les démarches en ligne. Cette partie du projet sera directement pilotée par la ministre. Lors de sa présentation fin septembre Amélie de Montchalin annonçait qu’elle contacterait courant octobre « tous les ministres pour faire le bilan des points forts et des points faibles de leur administration en matière de numérisation ».
Ce que cela implique pour les administrations
Le ministère de la Transformation et de la Fonction publiques entend utiliser la numérisation pour transformer en profondeur les administrations françaises en fluidifiant la circulation des données entre les différents organes. La numérisation permet l’automatisation d’un certain nombre de tâches actuellement effectuées par les fonctionnaires. L’un des objectifs visés par la ministre est donc de recentrer la mission des administrations sur le conseil et l’accompagnement des entreprises et des citoyens. Conséquence logique de la numérisation : les fonctionnaires devraient également bénéficier d’un accès facilité au télétravail. Ces actions déployées à court terme devraient permettre d’améliorer de manière significative l’accès aux démarches, ainsi que la qualité du service offert par les administrations.
Le présent article est rédigé par Labsense pour Boursorama. Cet article ne doit en aucun cas s'apparenter à un conseil en investissement ou une recommandation d'acheter, de vendre ou de continuer à détenir un investissement ou un placement. Boursorama ne saurait être tenu responsable d'une décision d'investissement ou de désinvestissement sur la base de cet article.
Beaucoup de seniors n'ont pas d'ordinateur relié à internet ou ne savent pas effectuer des démarches en ligne.Il convient de ne pas oublier ce fait.CordialementPh.
information fournie par Le Particulier•11.05.2025•14:00•
Un locataire vulnérable peut être placé sous tutelle ou curatelle quand il éprouve trop de difficultés à gérer ses biens seul en raison de son âge, d’une maladie ou d’un handicap. Un tuteur ou curateur est chargé de l’accompagner ou de le représenter. L’impact ...
Lire la suite
information fournie par Le Particulier•11.05.2025•10:00•
Le Sénat a adopté le 19 mars 2025 une proposition de loi relative à l’exercice des missions des architectes des Bâtiments de France. Elle vise à simplifier et apaiser les relations, souvent conflictuelles, entre les porteurs de projets de construction ou de rénovation ...
Lire la suite
information fournie par Boursorama avec LabSense•11.05.2025•08:30•
L’assurance vie est un outil d’épargne souple, fiscalement avantageux et très populaire en France. Mais dès que l’on cherche à dynamiser son placement en s’orientant vers des unités de compte (UC), le capital n’est plus garanti. Cela peut faire peur, surtout en ...
Lire la suite
information fournie par Le Particulier•10.05.2025•10:00•
Acheter un bien immobilier sans disposer d’un apport personnel est une démarche souvent jugée difficile, voire impossible. Pourtant, avec une bonne stratégie et un profil solide, il est possible d’obtenir un financement intégral de votre projet immobilier en 2025. ...
Lire la suite
3 commentaires
Vous devez être membre pour ajouter un commentaire.
Vous êtes déjà membre ? Connectez-vous
Pas encore membre ? Devenez membre gratuitement
Signaler le commentaire
Fermer